Robert Badinter à Jules Verne

Robert Badinter à Jules Verne

En avril 2008, des collégiens de 5ème ont vu un homme entrer dans leur classe. Quelques-uns le reconnurent. Tous furent impressionnés. A lire la stupéfaction sur le visage de leur professeure, ils comprirent que c’était quelqu’un d’important. Le président du Conseil...

Jules Verne et son capitaine

Jules Verne et son capitaine

Quand on évoque le capitaine de Jules Verne, on s’enflamme pour Nemo, commandant du sous-marin Nautilus, dans le roman Vingt Mille Lieues sous les mers. Dans la présente chronique, plus prosaïquement, on s’intéresse à la vie du lycée du même nom. Un lycée n’est pas...

Le Prix Théry

Le Prix Théry

En octobre de chaque année, 2 évènements mondiaux retiennent l’attention des physiciens : l’attribution du Prix Nobel à Stockholm et la remise du prix Théry au lycée Jules Verne de Nantes.
Intéressons-nous modestement au second.

Le lycée Jules Verne, pionnier du combat écologique

Le lycée Jules Verne, pionnier du combat écologique

A partir de 1968, commence à naître, timidement, un tout petit intérêt pour la protection de la nature. Le terme « écologie » est peu connu et guère utilisé. Les premiers mouvements écologistes sont marginaux, les militants sont qualifiés d’hurluberlus et traités avec mépris.

Une ouverture : l’année 1970 est déclarée officiellement pour la première fois « Année européenne de la conservation de la nature » par le Conseil de l’Europe.

Jules Verne à l’Académie française

Jules Verne à l’Académie française

Malgré plusieurs candidatures, le grand écrivain nantais n’a jamais été admis à l’Académie française. Il le regrettait. Sa notoriété internationale, de son vivant et jusqu’à nos jours, relativisent cet « échec ».
Le titre ambigu de la présente chronique n’est pourtant pas vraiment erroné. En effet, un ancien élève du lycée Jules Verne a été reçu à l’Académie française en 1974, au fauteuil rendu vacant par la mort de Marcel Pagnol.

La création du « Petit lycée »

La création du « Petit lycée »

Il était à la fois de l’intérêt de l’enseignement universitaire et des pères de famille, que le seul établissement d’instruction secondaire que l’Etat possède à Nantes, ne fut pas à une des extrémités de la ville, au préjudice des habitants des autres extrémités, et qu’il y avait lieu de le rapprocher du centre, au moyen d’une succursale placée à la portée de tous.